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Sujet: ▲ Le Bois Ensorcelé. Ven 9 Mai - 12:30
Plus tard
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Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Ven 9 Mai - 13:22
Cain - Bah ouais * sourit et avance *
Invité
Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Ven 9 Mai - 13:24
Heiden Et tu m'emmène où la ?
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Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Ven 9 Mai - 13:26
Cain - Au beau milieu d'un bois très chère.
Invité
Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Ven 9 Mai - 13:29
Hieden Et pour quoi faire ?
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Messages : 3872 Date d'inscription : 13/06/2013 Personnage Principal : *
Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Ven 9 Mai - 13:30
Cain - nous entraîner
Invité
Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Ven 9 Mai - 13:32
Heiden Et tu vas faire comment ?
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Messages : 3872 Date d'inscription : 13/06/2013 Personnage Principal : *
Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Ven 9 Mai - 13:36
Cain - j'en sais rien du tout, j'ai jamais entraîné personne
Invité
Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Dim 10 Aoû - 2:27
Je te protegerai.
* Le dragon était parti, furieux contre cette femme qui l'avait trahi, mais également furieux contre lui qui s'était laisse bêtement tombé dans le panneau. Il aurai du le voir pourtant, le comprendre a toutes ses parades et esquives mais il avait été aveugle, il avait préféré fermer les yeux et profiter de passer du bon temps avec elle plutôt que d'écouter la petite sonnerie d'alarme au fond de son esprit. Mais il était de nature publique que l'homme réagissait toujours comme un enfant, qu'il favorisait le plaisir a l'effort et c'était ici exactement ce qu'il s'était passé, il avait réagit comme un enfant et désormais, il tombait de bien haut, et ce pour une raison beaucoup moins publique : ce crétin était amoureux de la dragonne, traîtresse a son rang, alliée des démons. Et tout aussi crétin, Seiryu avait régit par excès, piquant une crise mais pour une fois beaucoup plus mature que d'ordinaire en lui annonçant la fin de leur relation dans un ton qui ne laissait pas a discuter. De celui ci, la colère avait facilement été ressentie, tout comme sa rage. Il s'attachait très vite et a l'inverse, il ne supportait pas une quelconque trahison, d'autant plus sans raisons valables. Il était vrai cela dit qu'il ne lui avait pas laisse le temps de s'expliquer, d'essayer de lui faire comprendre qu'elle n'avait pas eu le choix et que les démons exerçaient sur elle un chantage dont il n'aura pu deviner l'ampleur, mais l'un empêchait pas l'autre, elle aurai du le lui dire avant. Avant qu'il ne couche avec elle par exemple, avant qu'elle lui dise qu'elle l'aimait, ca n'excusait pas tout. Et a cet instant au contraire, il avait eu l'impression que la jeune femme avait utilisé ce terme comme excuse pour essayer de le calmer et de faire passer ses importants mensonges pour de petites cachoteries sans importance. Vainement puisqu'il s'en était rendu compte. Et il ne se calma pas avant un moment, un long moment passé a se défouler sur une malchanceuse bande de démons passés par la. Ce long moment a combattre ne lui éclaircit pas les idees, loin de là. Il pensa un instant que c'était peut être lui qui était en tord, ou du moins en partie, qu'il aurai du lui laisser le temps de lui expliquer mais ceci l'embrouillait encore plus. Décidément il n'était pas doué pour faire le tri dans ses idées, et encore moins en combattant. Une chose pourtant le fit mettre fin au combat, et ce malgré même que son avis sur la situation n'était toujours prononcé. Le problème ? Elle lui avait dit le premier jour chercher Cain, puis lui en avait reparle une autre fois également. Il n'avait certes pas une bonne mémoire mais ce détail l'avait dérangé, et voilà qu'il revenait, en force. Que lui voulait elle ? Pourquoi ? C'est a cet instant que le dragon abandonna les cadavres des deux démons et laissa le troisième filer pour lui, se précipiter vers l'endroit où il se retrouvait chaque semaines avec la femme. Absente. Il ne s'embêta alors pas a la chercher dans les bois mais suivit plutôt son odeur jusque la ville, la ou vivait le troisième dragon. Seiryu les découvrit a cet instant en train de se battre, ou plutôt en train de cesser car il ne vit que le dernier coup reçu par la femme qui dévalât un pente rude jusqu'à une grotte en contrebas où le gigantesque dragon l'y enferma avant de chercher à l'y brûler vive. Il n'avait rien dit, immobile devant la vision de la femme qu'il aimait en train de se faire mettre hors jeu, choqué et malheureux, avant de se rappeler ce qu'elle avait fait. L'homme se tourna alors, la gorge serrée, mais hésita, s'appuyant sur un pied puis sur l'autre. Partir. Rester. L'abandonner. L'aider. Il l'aimait c'était certain, et il ne pouvait la laisser seule alors qu'elle souffrait, qu'elle risquait de mourir. Même si elle devrait perdre la vie selon certains, lui s'y opposait finalement, le refusait. Elle l'avait certes trahi alors qu'il avait confiance en elle, il avait certes annoncé clairement qu'il ne voulait plus la voir mais il ne voulait pas qu'elle meure, il ne l'acceptait pas. Et puis .. il voulait se forcer à penser qu'elle avait une bonne raison a faire cela. N'importe laquelle, et il ne le saurait qu'en la sauvant. Le temps qu'il se décide, bien 10 minutes passèrent sans qu'il ne s'en rende compte. Le dragon finit pourtant par choisir et il se précipita dans la pente pour rejoindre la grotte et tenter de la libérer de sa prison de rocs et de feu, sans même savoir s'il n'était pas déjà trop tard. Immenses pierres, et bien trop lourdes, Seiryu finit par emprunter son apparence animal, prenant la physiologie tout comme les capacités d'un gigantesque dragon bleu, d'un bleu ciel presque blanc, pour déplacer les rocs le plus rapidement possible sans jamais faire attention a la douleur qu'il ressentait au contact de ces pierres brûlantes. La femme piégée sous celles ci était inconsciente de telle sorte qu'il la pensait déjà morte, mais pourtant non, il était arrivé juste a temps et avait par la suite pu l'extirper de cet endroit et la ramener non pas chez lui mais dans l'une des maisons avoisinante, et vide pour la soigner. Pendant plusieurs heures, le dragon s'y affaira, lentement, soigneusement, en priant pour ne pas mal s'y prendre. Il savait que le soin n'était pas son fort mais se refusait d'appeler qui que ce soit pour lui venir en aide, pas même sa sœur, et préférait se référer aux instructions notées sur les différents produits pour pouvoir s'occuper de la blessée. De par son incapacité à faire cela, le temps de travail fut doublé, et pendant tout ce temps, il ne chercha qu'à se concentrer sur ses gestes et non sur ce qui le préoccupait le plus. Ce n'est que quand il eu finit qu'il s'autorisa un temps de répit à l'extérieur pour fumer une clope, bien méritée, en réfléchissant.
L'homme ne savait rien sur le collier que Rega voulait lui transmettre. Cain l'avait garde et Seiryu était quant a lui enfermé dans cette maison depuis la veille désormais, a attendre que la femme se réveille, lui prouve qu'elle aille bien par un geste ou une parole quelconque pour qu'il cesse de s'inquiéter. Il avait ainsi eu, après l'avoir soigné, le temps de réfléchir, chercher une solution, en vain. Son esprit était embrume par ce qu'il ressentait pour elle tout comme par ce qu'elle avait dit, si bien qu'il ne parvenait a rien. Confus, ses pensées se mélangeaient, se troublaient et se contredisaient sans cesse. Il ne parvenait ainsi à n'obtenir aucun résultat. Le dragon avait alors décidé d'aller visiter son compatriote et chef un peu plus loin dans la rue. Il voulait savoir ce qu'il s'était passe et pourquoi la jeune femme s'en était prise a lui. Il avait donc tout d'abord sonné chez lui avant de toquer a la fenêtre mais sans avoir de réponses. L'autre dragon était a l'étage et c'est là qu'il le retrouva pour venir lui parler. Celui ci venait de changer les bandes ensanglantées de l'oiseau blessé avec qui il passait désormais ses jours et ses nuits et, pour cette raison, n'avait pu lui répondre. Seiryu, après lui avoir annoncé qu'il voulait lui parler, sorti de la chambre et l'attendit dans le couloirs pour qu'il l'y rejoigne. Une fois ceci fait, il se présenta a l'autre dragon qui refusa après une courte discussion, de lui expliquer ce que Rega lui voulait en venant ici, mais lui offrit le bien qu'elle voulait qu'il reçoive a sa mort. Trépas qu'il devait croire arrivé. Seiryu se retint d'ailleurs bien de lui annoncer que la dragonne avait survécu pour éviter toute représailles et prit plutôt le message avant de sortir, bout de papier plié en quatre contenant un petit bijoux, qu'il rangeât dans sa poche. Pour le lire, Seiryu retourna dans les bois pour pouvoir réfléchir. Il commença par s'assoir contre un arbre, toujours le même, un vieux chêne, face à l'eau de la rivière et il ressortit mot. Longuement, Seiryu observa le papier, sans bouger, craignant de découvrir ce qu'il contenait, ce qu'elle allait lui confier et lui expliquer. Il finit donc par le déplier, délicatement, et découvrit en premier lieux, un petit bijoux, magnifique médaillon accroché à une fine chaîne dorée que l'immortelle portait sans cesse. Élément qui le rassura quant au propriétaire de ce document, qui aurai peut-être pu être falsifié, inventé de toute pièce par Cain. Idée saugrenue mais qui l'avait bien sûr traversée. Il l'observa un long, très long moment, plongé dans de vieux souvenirs où il la voyait sans cesse en train d'arborer ce superbe bijoux. Il la revoyait sourire, rire, bouger, dormir, nager juste en regardant ce bijoux. Tant de choses qu'elle faisait, tant de tics qu'il avait remarqué et auxquels il repensait grâce à ce petit artifice venait de lui tirer une larme, unique et silencieuse dont il n'arrivait à deviner la cause. Peut-être le souvenir de sa trahison, et de son rejet, ou peut-être parce qu'il l'avait crue morte. En soupirant, Seiryu reposa le collier à côté de lui et ouvrir le papier pour enfin y découvrir sa fine écriture, penchée. Message écrit à l'encre noire, il se surprit à y découvrir quelques traces de larmes ayant fait coulé l'encre et il serra les dents, se sachant responsable.
Seiryu, je suis desolee, mais je sais que des excuses ne pourrons dissiper ce sentiment de trahison que tu dois ressentir. Si tu as ce mot, c est que je suis morte, et ainsi, je te demande un unique service, le dernier sans doute. Toute ma vie, j ai ete sous les ordres de demons que je haissais. Je ne suis pas fiere de ce que j ai fais, mais si j ai agit de la sorte, c est bien parce que j avais une raison. Depuis des annees, je veille sur 3 oeufs de dragons m ayant ete confirs par une jeune dragonne au bord de la mort. Aujourd'hui, je fais exactement la même chose, quelqu'un doit s occuper d eux, et tu es la seule personne en qui va ma confiance. Je sais que je n eviterai pas ton jugement, mais comprend que mes actes on ete guides par ma raison, pour maintenir en vie ces trois petits dont les demons menacaient la survie. Occupes toi en, deplaces les et caches les ! Tes ennemis ne doivent pas tomber dessus. ... ... Seiryu ? J ai toujours menti a tout le monde, et je t ai meme menti sur mon identite ... Mais j ai toujours ete sincere sur les sentiments que j eprouvais a ton egard. Je t ai aime Seiryu ... je t'aime... Fais attention a toi. Epheragor.
Seiryu relu à plusieurs reprise cette lettre d'adieu, sans comprendre ce qu'il devait faire, ni comment, ni pourquoi exactement. Lui aussi l'aimait, et bien sûr il ne désirait que combler la dragonne avec qui il pensait passer sa vie, mais ce qu'elle lui venait de lui confier avait une importance capitale, tout comme risquait d'avoir de lourdes conséquences si jamais il décidait de la prendre au sérieux et de l'aider. '' Si jamais il décidait ... ''. Déjà ce qu'il faisait en vérité. Sans même avoir de véritable preuves de ses dires, l'homme avait cru ses mots et voulait déjà venir en aide à ces trois petits, car dragon tout comme eux, il se sentait concerné, d'autant plus car il aurai sans doute eu le même geste que Rega, et risqué sa vie pour celles de trois petites créatures. A l'inverse de Cain par exemple, qui lui, semblait penser ça complétement stupide. Assez protecteur avec les personnes qu'il aime, tout comme avec les enfants, Seiryu aurai bien sûr tout risqué pour la sauvegarde de ces oeufs, tout comme Rega, et c'est peut-être cela qui le convainquit, il aurai fait pareil. Et puis, elle ne pouvait avoir inventé telle histoire .. non ? Confus, perdu, il decouvrit le second papier, trace de la situation des oeufs. Si jamais il allait les chercher a cet endroit, et qu'il les trouvaient, ceci voudrait forcément dire que la jeune femme dit vrai, c'est certain. Cette simple pensée le fit sourire, il était déjà prêt à tout lui pardonner si jamais il venait à découvrir que ce qu'elle disait était bel et bien fondé. Il se leva alors, soudain très sur de lui, passa le collier a son cou et rangea la lettre tout comme la carte dans une poche fermée. Il connaissait déjà le chemin jusque cet endroit, ou presque. Pourtant, avant de partir à la recherche de ces trois créatures, le dragon fit un détour pour retourner à sa nouvelle maison voir l'état de la jeune femme. Il la trouva endormie, comme depuis la veille, et décida de lui laisser un mot pour la prévenir de ses intentions si jamais son départ durait plus de temps que prévu et qu'elle cherchait à savoir ce qu'il lui était arrivé. Dans sa propre lettre, Seiryu lui confia qu'il avait lu la sienne, et qu'il partait en quête des oeufs, même si sa requête n'était faite que dans le cas de sa mort. Il expliqua rapidement qu'il l'avait soigné après l'avoir sorti de la grotte et qu'elle dormait depuis ce jour là. Par la suite, il la salua, gratifiant d'un autre « Je t'aime » qu'il hésita longuement à mettre avant de signer de son nom. A son tour, il plia le papier et le laissa sur la table de chevet, calée sous l'une de ses grenades, n'avait rien d'autre. Grenade facilement reconnaissable de par les couleurs qu'il s'amusaient souvent à peindre dessus quand il s'ennuyait.
Après cela, le dragon parti, sans prendre d'affaires et ressortit la carte pour se remettre en tête le chemin jusque la cachette des oeufs. Une fois ceci fait, il ne tarda pas a reprendre forme draconienne pour étendre ses ailes et s'envoler plus rapidement jusque son objectif. Dans les airs, planant au dessus des nuages, Seiryu ne put s'empêcher de penser a une femme qu'il avait connu, avant de rencontrer Rega, deux ans auparavant. Il avait déjà oublié comment ils s'étaient rencontrés, mais il se rappela les liens qu'ils avaient tissés tous les deux. Complices aux combats autant qu'en privé, le dragon n'avait jamais réussit à s'assurer de ses sentiments auprès de l'autre femme, dragonne également, mais se rappela qu'il avait profité des sentiments que celle ci éprouvait à son égard pour coucher avec elle. Enfoiré à cet époque oui, mais époque qu'il espèrait révolue avec Rega, si jamais elle restait en vie. Le souvenir de cette femme, une magnifique blonde aux grands yeux chocolats, s'effaçât bientôt pour être remplacé par l'image de la dragonne blessée. Une dragonne qu'il aimait bien plus que la précédente et auprès de laquelle il ne voulait pas passer sa chance. Il l'avait déjà fait une fois et ne voulait pas recommencer et perdre quelqu'un à qui il tenait sans lui avoir avoué ses sentiments, sans avoir profité avec cette personne de l'amour qu'ils pouvaient échanger, et cette nouvelle chance lui était offerte par Rega avec qui il s'imaginait de plus en plus passer sa vie, et peut-être même avec les trois autres dragonneaux, qui sait. Peut-être pourront ils même sauver leur race. Ce serait superbe. Cain lui aussi pourrait essayer, il en était certain, et ainsi leur race aurait plus de chance d'être sauvegardée malgré les ségrégations subies. C'est les étoiles pleins les yeux et le cœur empli d'espoir que Seiryu atteignit son but et qu'il traversa la forêt. Le dragon atterrit dans une grande clairière, du moins assez grande pour pouvoir accueillir la corpulence d'un animal tel que lui et reprit forme humaine avant de se vétir. Ses grenades et autres armes dissimulées sur lui, l'homme avançât silencieusement pour parcourir les quelques mètres qui mèneraient jusque la supposée colline où devaient se dissimuler les oeufs. Sur ses gardes, il ne mit bien sûr pas longtemps à remarquer les démons qui surveillaient l'endroit, peut-être un autre élément pouvant lui assurer que la dragonne disait vrai. Dissimulé dans un arbre, Seiryu compta de son perchoir le nombre de démons en vue, et compara au nombre d'odeurs qu'il captait. Plus d'odeurs que d'hommes, soit c'était d'anciennes odeurs, soit leur présence était dissimulée. L'homme espérait que ce soit la première solution et attaqua du haut de son arbre. Il attrapa une première grenade qu'il dégoupilla avant de l'envoyer au pied de deux démons. Le temps que l'information monte aux cerveau, les deux créatures en étaient déjà dépourvues et le dragon pouvait s'occuper des autres. Trois plus loin, qui précédemment discutaient mais qui le cherchaient maintenant des yeux, un plus près de lui, a sa gauche qui revenait en courant. Deux autres réveillés en sursauts qui visiblement se reposaient. Et un dernier disparu. C'est celui ci qui l'inquiéta le plus mais il n'avait pas le temps de le chercher. Seiryu profita alors que deux de ses ennemis se réveillaient pour balancer une seconde grenade de sa disposition entre les deux hommes pour pouvoir se concentrer sur le trio qui lui, l'avait repéré, et le visait déjà de leur magie. Mauvaise chose pour lui, incapable de se defendre par magie. Le dragon n'eut donc autre choix que sauter de la branche avant d'attraper une dynamite qu'il alluma a l'aide d'un briquet, alors incapable de contrôler le feu. Dynamite qu'il envoya derrière eux de telle sorte à faire exploser la paroi en pierre à proximité. Si bien explosée derrière qu'un roc s'effondra sur le plus jeune, immobilisé sous celui ci dans un gémissement de douleur. Les deux autres furent plus difficiles a battre et pour ce faire, Seiryu ne put que se servir de ses poings, qu'il contrôlait parfaitement cela dit. Crochet du droit au le plus vieux, suivit de coup de pied au second pour le repousser après un demi tour rapide. Retour au premier qu'il attira a lui après l'avoir choppé par le col et ainsi mieux pouvoir le frapper du poing au ventre, a plusieurs reprises et à forte puissance. Il ne cessa que lorsque l'autre revint à la charge, qu'il renvoya balader en balançant le corps du plus vieux sur celui ci. Plus vieux, plus baraqué et forcément plus lourd qui écrasant son compagnon, l'assommant a moitie. Seiryu en profita pour mettre en place une nouvelle bombe, qu'il laissa a côté des deux démons le temps d'aller à la rencontrer du dernier qu'il fit bien vite reculer, recommençant à se battre avec lui. Homme armé cette fois qui parvient à lui entailler le bras lors d'un instant d'inattention. Raison de ce dit instant ? Le plus âgé des belligérants à eu le temps de se relever avant l'explosion et venir jusqu'à lui, sans chercher à aider son compagnon bien sûr qui lui, s'est prit la bombe en pleine face, c'est le cas de le dire. Ce même démon essaya de le frapper de nouveau, ce qui permit au brun face au dragon de l'atteindre au bras. Coincé entre ses deux ennemis, Seiryu essaya de profiter de la situation en esquivant le coup de l'un, qui atteignit l'autre au visage, le faisant rapidement saigner. Bonne tactique mais qui ne dure pas indéfiniment et notre dragon se prit un second coup, a la mâchoire cette fois qui emplit sa bouche de sang. Le crachant au visage de l'un des deux, il en profita pour leur échapper, ayant bien sûr laissé un petit cadeau explosif dans la large poche de l'homme armé. Plus qu'un, et toujours le même, dernier survivant du trio qui hérita du poignard de son collègue pour attaquer l'homme. Mauvaise idée car il finit avec sa propre arme enfoncée dans la gorge, libérant un flot de sang continu et puissant qui l'acheva peu après. Soufflant après ce dernier effort, Seiryu se tourna vers la scène derrière lui. Ce qu'il voyait consistait à un amas de chair et d'os brisés pour la plupart, éparpillés aux quatre coins de cette lumineuse clairière, et un cadavre se vidant encore de son sang. Il sourit alors, fier de lui et alla récupérer le poignard du démon pour pouvoir s'en servir. Arme qu'il cala dans sa ceinture avant de se diriger vers la paroi de a colline qu'il avait fait exploser. Paroi qui s'était ouverte sur un couloir souterrain, d'ordinaire relié à une ouverture bien plus à droite, m'enfin pourquoi s'embêter. Le dragon y pénétra, briquet allumé pour espérer éclairer un peu le tout avant de s'enfoncer dans cette grotte souterraine où devraient se trouver son bonheur, trésor de la femme qu'il aimait. Le jeune homme les découvrit après une centaine de marche dans la pénombre, confortablement installé sur un lit de mousse. Trois œufs de dragon de belle taille déjà, reconnaissables aux écailles qui semblaient recouvrir leur coquille. Trois œufs qui l'étonnèrent malgré tout par leur présence. Peut-être pensait il tout de même au fond de lui que la dragonne lui avait mentie, qu'elle se cherchait une excuse ou qu'elle voulait se faire bien voir auprès d'un dragon en lui disant qu'elle faisait cela pour sauver '' ses '' petits. Cependant, une fois la surprise passée, Seiryu sortit un sac qu'il avait prit avec lui et y plaça délicatement les œufs, y ajoutant de la mousse pour que ce soit plus confortable pour eu avant de se dépêcher de ressortir, certain que ses bombes avaient données l'alarme. Coup de chance, les voix étaient encore lointaines et il eu le temps de se transformer et de partir avant qu'elles n'arrivent dans la clairière.
Les œufs dans les pattes, le dragon retourna a Rasguar pour aller retrouver Rega dans la maison où il l'avait laissé, l'esprit emplie de rêves et idéaux de toutes sortes maintenant que la femme n'avait plus besoin de travailler pour les démons. Arrivé dans la rue, environ deux heures plus tard, Seiryu reprit forme humaine, s'habilla puis fonça jusque la bâtisse de pierre pour aller faire la surprise a la demoiselle qu'il pensait toujours endormie dans la chambre. Quelle fût sa surprise lorsqu'il découvrit le lit défait, vide et son odeur déjà atténuée ? Les sourcils froncées, Seiryu s'approcha du lit, sans comprendre. Où était elle ? Pourquoi était elle partie ? Pourquoi alors qu'elle était blessée ? Alors qu'elle était faible ? Etait elle si irresponsable ? Grognant, le dragon parti à sa recherche immédiatement dans la maison d'abord, puis dans la rue, alors qu'il savait très bien qu'elle n'était déjà plus là, tout comme il savait qu'elle avait lu son mot. Ceci voulait il dire qu'elle était partie le rejoindre sur place ? Alors pourquoi ne l'avait il pas vue à la clairière ? Cela ne voulait dire qu'une chose : la jeune femme était arrivée après lui, lorsque les démons étaient arrivés pour défendre jalousement les œufs. Alors elle devait forcément y être encore, et en difficulté s'il ne se trompait pas sur ses capacités actuelles. Inquiet, Seiryu alla dissimuler les bébés dragons dans la maison avant de s'envoler de nouveau jusqu'au lieu où il pensait la trouver, battant des ailes avec force et rapidité pour essayer de gagner un maximum de temps.
Le dragon retourna en forêt, jusque la colline où était dissimulé le trésor de la femme qu'il aimait et se retrouva face à une nouvelle vision. Les différents crimes qu'il avait connu dans cette clairière étaient désormais soutenus par d'autres causées par Rega, qui elle, était introuvable à l'inverse des cadavres laissés. Cadavres en petits nombre, sans doute à cause de sa faiblesse passagère, en aucun cas de la puissance des démons, faciles à battre selon lui. Sous forme draconienne, Seiryu releva la tête pour renifler l'air, elle devait forcément être quelque part, c'était obligé, et encore à proximité il en était certain. Les yeux clos, l'homme inspira, longuement, cherchant parmi toute cette odeur de sang et de mort, le doux parfum de la traîtresse. Celui ci était diffus, de telle sorte qu'il mit un certain temps pour le trouver, mais immédiatement, il le suivit une fois qu'il l'eut repéré. Reprenant forme humaine pour plus de discrétion, Seiryu s'avança parmi les arbres et marcha, courra même, pendant une dizaine de minutes avant de tomber sur un camps. Camps de démons il va de soit, et perché dans un arbre de nouveau, il chercha à se mémoriser de la position de chaque tente, chaque garde pour aller au plus court jusque celle où il captait le mieux l'odeur de la dragonne. Une grande tente, à proximité de la tente centrale, où seul une forme humaine aurait pu pénétrer, et non d'un animal de grande taille. Seiryu la savait blessée, affaiblit, tout comme il avait comprit qu'elle avait désobéit aux ordres qu'on lui avait donné. Il ne lui était donc plus très compliqué de savoir ce qu'on risquait de lui faire, et ça il le refusait, il n'accepterait pas qu'elle meure.
Agissant d'ordinaire de façon bête, voire même stupide, le dragon se posa un moment pour se calmer, et s'imposer un temps de réflexion, contrairement à son impulsivité habituelle. Ce coup ci, l'enjeu était important, très important, et il ne pouvait se permettre la moindre erreur, pas maintenant, il préférait encore faire surchauffer son cerveau quelques instants plutôt que de risquer de faire une connerie. Comme quoi monsieur pouvait être sérieux quand il s'y mettait.
Son plan était simple. S'infiltrer, agir tout en discrétion, tuer quelques passants trop hargneux et atteindre la dite tente. Comment y parvenir ? Les bombes, qu'il venait de placer de l'autre côté du camps, à plusieurs endroits de sorte à attirer l'attention le plus possible. Détonateur a 2 minutes, il devait maintenant retourner au nord du camps, donc à son point de départ, et commencer à pénétrer le camps, vêtu de l'uniforme de l'un des soldats auquel il venait de trancher la gorge. Entrer dans le camps fut tout ce qu'il y a de plus facile. Si on lui demandait à cet instant de qualifier les démons, les termes seraient trop confiants, trop stupides, aussi simple que ça. Pas un seul des soldats présents dans ce camps ne l'interrogea, ne vint le voir pour demander qui était ce visage inconnu, et pas un seul ne capta son odeur, différente des leurs, une chose auquel Seiryu n'avait pas pensé mais qui n'avait pas d'importance visiblement. Après tout, Rega aussi était une dragonne qui travaillait pour eux, alors ils avaient du se dire qu'il avait rejoint leur rang également. Stupide oui. Le tout se compliqua peut après que la première bombe explose, lorsqu'un grande partie de ces créatures soit disant supérieure se dirigea vers le coin sur du camps, créant comme une panique générale. A croire qu'ils n'avaient jamais été entraînés. L'un d'eux pourtant, sans doute un peu plus intelligent que la moyenne de sa race, réagit en le voyant, et chercha à prévenir son voisin que le dragon avait l'air louche. Une balle dans la tête, merci premier soldat tué qui lui avait fournit son arme. Ce coup de feu avait pourtant prévenu le dit voisin. Quand on parle de gestes stupides, il aurait du être plus discret, et fit finalement taire le second de la même manière alors qu'il ouvrait la bouche pour crier à l'intrus, sans reussir à faire quoi que ce soit au final.
Ses bombes marchèrent à la perfection. Alors que certaines avaient explosées pour attirer les démons, d'autres s'étaient déclenchées tandis que ces créatures étaient à proximité, les explosant sans plus d'artifices. Seiryu fut donc tranquille sur presque toute la traversée du camp, jusque la tente en vérité. Les persécuteurs qui étaient restés près de celle ci pour la surveiller l'avaient bien sûr repéré, et tout aussi stupide, Seiryu se laissa a demi assommer pour qu'on l'emmène au chef. Et donc forcément attaché. Quel con.
On l'emmena dans la tente à laquelle il voulait accéder. A l'intérieur se trouvait déjà quatre personnes. Le chef, un grand homme, musclé aux traits durs, les cheveux rasés courts tel un parfait militaire humain, âgée d'une cinquante d'années, deux autres persécuteurs près de l'ouverture et la dragonne blessée, attachée au sol après être sans doute tombée. Dragonne dont certaines blessures étaient assez récentes pour certifier à Seiryu qu'elle s'était battue, où avait été battue récemment. Lui qui n'était blessé que au bras, qu'il n'avait pas soigné, et à la mâchoire où il avait déjà un hématome, la femme elle, saignait à de multiples endroits. La lèvre déjà, à l'épaule où elle s'était prise une balle, à la clavicule où une lame sans doute bien affutée l'avait coupée, à la hanche, de la même arme, et à la cuisse où elle était brulée, magie sans doute. Blessures qui ne dataient que de l'heure passée ici, mais qui lui avait fait perdre le peu de sang et d'énergie qu'elle avait récupérés, et il le voyait bien, la dragonne était sur le point de s'évanouir, ses jambes l'ayant déjà lâchées pour qu'elle se retrouve au sol. Quand il était entré, Rega avait relevé les yeux, des yeux sombres, désolés, sans espoirs. Elle devait être persuadée que ces blessures étaient celles qu'ils venaient de recevoir, alors qu'il n'avait eu que quelques coups pour l'immobiliser, rien de plus, tout comme elle était persuadée qu'ils allaient le tuer, tout comme elle. Elle qui pensait prendre seule le résultat de ses idioties avait également condamné l'homme qu'elle aimait, et avec lui, les œufs qu'elle croyait toujours dissimulés sous la roche, et cette idée manquèrent de la faire pleurer. Le démon au dessus d'elle, avec qui elle discutait de sa mort imminente, se redressa pour poser les yeux sur cet homme qui venait d'être emmené par les gardes, et il fronça les sourcils dans un petit sourire, sadique. Comme ça, ils avaient trouvé un second dragon ? Intéressant, mais il aurait préféré que ce soit celui qu'ils recherchaient au départ, Cain. Ce rebelle pourtant était a tué, comme tout les autres, d'autant plus que sa race devait l'être tout autant, alors il ne laisserai pas passé l'occasion. L'homme s'avançât donc vers lui avant de lui poser une première question, rhétorique puisque suivit d'une autre avant qu'il n'ai de réponse.
« J'imagine que tu es le fauteur de trouble de tout à l'heure jeune homme ? Que fais tu là alors ? »
Silencieux, Seiryu se contenta de serrer les dents lorsqu'il vit l'autre homme jeter un coup d'oeil à la dragonne, faisant un rapide lien. Question idiote, il sourit alors, pleinement cette fois, prononçant un rapide « Je vois », avant de retourner vers la dragonne au sol. Sans en perdre de son rictus, le démon souleva la jeune femme sans efforts pour la remettre debout, et la soutenant ainsi, le senior prit l'initiative d'énerver l'homme attaché derrière lui, frappant la femme au ventre après avoir plié son bras. Coup puissant pour la femme affaiblie qui en eu la respiration coupée, la vision troublée dans un gémissement douloureux. Unique coup, pour le moment, et il se retourna vers Seiryu, qui grognait déjà, ayant soudainement tiré sur ses bras pour venir en aide à la dragonne. Qu'osait il faire devant lui ? Que venait il de faire ? Non, ça n'allait pas ce passer comme ça !
« Je vois que tu tiens a elle .. »
Lui visiblement, désirait continuer et il recommença, plus fort, et plus haut, la faisant se plier en deux sous la douleur. A la recherche de son souffle, le gémissement de la jeune femme se fit a peine entendre, mais son visage démontrait clairement la douleur ressentie, et cette douleur énerva comme prévu le dragon, qui recommença a tirer sur cette chaîne qu'il leur avait laissé mettre. Il suffit alors de ces deux coups pour que le dragon sombre dans une rage incontrôlable. Son regard changea, se durcit et ses traits se figèrent dans un expression de haine, de colère sans limite. Le troisième coup fut donné, puis un quatrième sans que le démon ne se tourne vers lui, qui profita des rires des deux autres pour les frapper, violemment, grognant. Les chaînes ne le dérangeaient pas, il les sentaient à peine. Seiryu attrapa l'homme a sa droite par les épaules et ne s'embeta pas avec les politesse, le faisant se plier de sorte à créer un certain impact entre son genoux relevé et la tête du persécuteur, violemment, ce qui eu pour conséquence un horrible bruit d'os brisé. Le front en sang et déjà inconscient, le dragon savait qu'il ne survivrait pas et s'occupa immédiatement de l'autre qui s'était figé, terrorisé. Il mourut peu après, la nuque brisé sans avoir eu le temps de faire quoi que ce soit. Ne restait que le chef, grand homme baraqué qui venait de se tourner vers le dragon, étonné de sa force alors qu'il semblait avoir été immobilisé si aisément. Erreur d'avoir frappé la femme qu'il aimait, l'homme le paya amèrement. Seiryu reprit forme animale, brisant ses chaînes trop fines en se métamorphosant, tout comme la tante au dessus de sa tête. Avant qu'il n'ai le temps de s'enfuir, le dragon attrapa l'homme au sol de sa patte droite, entre ses énormes griffes et le plaqua au sol après un rugissement de rage. Le persécuteur avait volé les œufs de la femme. Un coup de griffe dans l'abdomen. Il avait soumis la dragonne qui ne désirait que liberté et tranquillité. Une nouvelle entaille dans la jambe. Il l'avait violenté, blessée, peut-être même touché, et s'il ne l'avait pas fait il avait du y penser. Seiryu se vengea en s'attaquant à son appareil génital de son autre patte, le faisant hurler de douleur, jusque prendre des intonations qu'il n'avait jamais entendu auparavant. Et pire que tout, il s'en était prit à la femme qu'il aimait sous ses yeux, il méritait la mort. Pour ce faire, Seiryu préféra le démembra, tirant sur sa jambe grâce a ses crocs, tirant tirant tirant jusqu'à ce que les muscles lâchent, sa clair se déchire, ses os se dessoudent, et il la recracha a côté de la tête de l'homme qui manqua de s'évanouir. Il ne devrai pas pourtant, il n'avait pas encore finit, il restait ses deux bras et son autre jambe après tout. Seiryu ne se préoccupa pas du flot de sang qui s'échappait de sa blessure et s'attaqua a son bras gauche, de la même façon, et le fit ensuite retomber sur son torse, blessé, alors que l'homme se vidait de son sang. Trop rapidement à son goût, le dragon dut abandonner son jouet, mort entre ses pattes, alors que les démons revenaient en force s'attaquer à lui. Rapidement, il reporta son attention sur Rega, toujours attachée, au sol de nouveau, a demi inconsciente, et faisant preuve d'une délicatesse étonnante après ce qu'il venait de faire, Seiryu prit la demoiselle dans sa patte gauche, l'autre étant pleine de sang, avant de décoller. Esquivant balles et magie, le dragon s'envola jusque la ville, ailes puissantes qui lui permirent d'accélérer très rapidement, malgré la plainte de douleur qu'il poussa au début de son vol, touché par quelque chose à la baise de l'aile, ce qui lui fit perdre son équilibre pendant un instant. Hormis cet incident lorsqu'il était encore au dessus du camp, Seiryu pu rentrer sans autre encombres, malgré le sang qu'il laissait tomber derrière lui.
Arrivé dans la rue, il reprit forme humaine, sans s'embêter cette fois à s'habiller et se précipita à l'intérieur, la femme dans les bras. Bras blessé, douloureux, secoué de tremblement depuis qu'il avait prit la balle mais il ne s'en souciait guère, ne se préoccupant que de Rega, blessée elle aussi, et sans doute plus en danger que lui. Il la ramena pour la seconde fois dans son lit et recommença à la soigner, comme il pouvait, épongeant le surplus de sang trop important.
Le rebelle ne vérifia qu'une fois la femme hors de danger que les œufs étaient toujours dissimulés dans l'armoire. Il lui expliquerai à son réveil qu'ils étaient sauves, attendrait qu'elle se remette de ses blessures. Il retourna donc sur le fauteuil, vers son lit, et détailla un moment la femme endormie sous la couverture, plongé dans ses pensées.
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Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Dim 10 Aoû - 15:05
Tu me survivras mon amour.
❝ Un dernier Souvenir ❞
▲
Par Ordre de ses Majestés Corvian le grand, Azael, et Venzel Easus, Souverains de Mookonen et de toute cette Terre, Par décret officiel de ses Altesses, signé de leur noms, Il est aujourd'hui intimée la responsabilité, A tout démon de sang pur, De se débarrasser de tout individu appartenant aux races ennemies. Aucune pitié, aucun témoin, et aucun prisonnier.
Aussi, est-il intimé l'ordre aux gardes, Ainsi qu'à toute personne sensée, ayant fait serment d'allégeance aux trois Couronnes, De tuer tout dragon, exclusivement femelle, Parcourant le ciel ou foulant nos terres.
Pour chaque tête, croc, ou griffe de dragon, une récompense sera offerte.
Il n'en avait vraisemblablement pas fallut plus, pour que tous les chasseurs de la planète se soient mis à la recherche, et à la traque, de toutes dragonnes vivantes à la surface du globe. Un avis de chasse général, qui ne visait plus la race entière, mais bien uniquement tout être de sexe féminin. Certain étaient restés sceptiques, que cela pouvait-il bien signifier ? Individus spécifiques... et pourquoi pas les mâles ? Pourquoi ne pas exterminer toute la race ? D'autres avaient tout de suite compris, et il était désormais temps de ne plus faire confiance à quiconque, l'offre était trop alléchante, et n'importe qui aurait pu tomber dans le panneau, n'importe quel homme aurait pu vendre son amie, sa femme, sa fille, sa soeur, si elle avait été dragonne, et ce pour un potentiel soucis d'argent, si cela n'avait pas été par pur désir de richesse. Combien pouvait donc rapporter une griffe, ou une canine de dragon ? Un millier ? Les rois étaient riches, et il s'avérait qu'ils pouvaient se montrer généreux pour chaque bête abattue. Imaginez donc ce que pourrait rapporter la tête de l'une de ces magnifiques créatures, squelette possible d'exposer n'importe où. On tuerait les vieilles dames, les mères, les jeunes filles, les enfants, toutes, pourvu qu'elles puissent détenir en leur veines quelques gouttes de sang draconnique. Même un rebelle pouvait vendre sa collègue aux démons, parce qu'ils n'étaient pas payés, tous ces gaillards, alors bien sur, se faire un tas d'argent, et vivre enfin comme un prince, ça avait des allures de rêve, si bien que certains se prirent au jeu, et à peine deux jours passés cette sommation royale, déjà cinq cadavres de dragon, peut importe l'âge, la taille, la couleur, les écailles, les pouvoirs, jonchaient déjà les allées du sinistre château d'Edenis, le château Eredor.
Plus que jamais, Epheragor, la traîtresse, autant rejetée par l'un ou l'autre des camps, devait protéger son secret, car plus d'être traquée par les rebelles qui la cherchaient déjà depuis des lustres, les démons s'étaient tous lancés à sa poursuite pour venger leur chef, pour laver leur honneur, pour obéir simplement, aux ordres de leur suzerains, pour anéantir une race qu'ils savaient dangereuse. Une maison en bord de ville, ça n'avait jamais eu rien de sur, la sécurité n'y était pas, et même Seiryu n'aurait pu la protéger.
Je pense qu'il avait du le comprendre... Je pense que ce matin là... il avait compris que rien, pas même lui, ne me garderait de mon destin funeste.
Nous avions fuis ce qui n'avait plus été une maison, mais un baraquement. Je me souviens de mon sauveur guettant sans cesse par les fenêtres pour voir si quelqu'un approchait. Je me souviens de sa décision au soir de nous éloigner, moi et les petits, loin d'ici, de nous envoler, de partir loin, pour me préserver... Ca n'aurait jamais été assez loin de toute manière.
Trois jours auparavant.
Endormie, Rega se réveilla en sursaut et se tourna sur le côté, lentement, bien que rapidement pour son état, et recracha une gorgée de sang qui n'avait visiblement pas circulé au bon endroit, résultat d'un hématome interne bénin situé au niveau de l'abdomen, sans doute à cause de la puissance des coups qu'elle avait reçu la veille. Le dragon alerté, elle l'attira à lui sans même l'avoir prémédité, elle venait juste de revenir à la vie, en somme, comme lors d'une noyade, ou l'eau s'extrait des poumons par massage cardiaque, il s'agissait de la même chose, mais de manière plus naturelle. Perdue, malade, blessée, faible, elle sentie une main se poser sur ses cheveux verts, un geste doux, qui lui arracha un frisson léger. En relevant les yeux, la jeune femme pu apercevoir le visage d'un homme tout autant blessé qu'elle, pourtant pas forcément de la même manière, pas effectivement de manière physique, mais son moral avait du en prendre un coup. Elle avait pu, en posant son regard sur ses yeux, savoir qu'il n'avait pas dormi, et qu'il avait passé son temps à la veiller, à ses bras qu'il s'était battu, et à sa mine triste qu'il s'en voulait, et qu'il s'inquiétait pour elle. Elle ne su d'abord pas quoi répondre, mais après qu'il l'aida à se recoucher, en la tournant sur le dos, chose qu'elle ne pouvait pas faire d'elle même à cause de souffrances physiques, elle serra les dents, avec l'indomptable envie de pleurer. Alors comme ça il était revenu ? Comme ça, il ne l'avait pas abandonnée ? Peut-être lui en voulait-il toujours après tout, et mieux ne valait pas qu'elle se fasse de fausses idées...
« - Seiryu... je... je suis... - Je sais... - Non, attends... - Si, c'est moi qui suit désolé, j'aurais du t'écouter, j'aurais du te laisser m'expliquer. Je me suis braqué, trop vite, trop tôt, j'aurais pu t'éviter ça. - Ca n'est pas ta faute... »
Evidement que ça ne l'était pas, elle aurait du lui expliquer tout de suite, mais après tout, qui aurait pu dire que si elle le lui avait dit avant, il n'aurait pas réagit de la même manière ? Qu'il l'aurait quand même délaissée, qu'il l'aurait rejetée, chassée, faite sortir de sa vie à jamais. Lui dire ça de vive voix n'aurait peut être pas eu comme résultat le même que celui ci, alors expliqué sur papier. Que lui aurait-il dit ? Vraiment ? La même chose, sans aucun doute, mais sans espoir que leur relation ne se rattrape, comme ici. Ils avaient finit par parler, par s'expliquer, se dire les choses. Se confier l'un à l'autre, sur ce que chacun pouvait ressentir, sur ses sentiments, éprouvés pour la personne en face. Du manque, de la peur, de la rage, la colère, et de tout ce qui pouvait aller, ou au contraire, pas du tout.
Epheragor raconta alors son histoire, pour éclaircir la situation, pour qu'il n'y ait plus aucun malentendu, et il avait vu qu'elle n'avait pas menti, qu'elle ne lui avait jamais menti, qu'elle ne lui mentait pas.
« Comme tu le sais déjà, mon véritable nom est Epheragor. Plus clairement, je suis le traître recherché, le dragon minable ayant selon tous fait volontairement serment d'allégeance aux rois de la cité démoniaque, et pour certain, par désir de célébrité, ou de richesse. Saches tout d'abord, que je n'ai jamais recherché, que ce soit l'un, ou l'autre. Je te l'ai déjà confié, mon seul et unique but n'a jamais été celui ci. Pour commencer, je vais sur mes 2 108 ans, je suis immortelle, tu t'en doutes, m'enfin, ce n'est pas ce qui nous importe. (...) Il y a environs deux ans, un peu moins peut être, une dragonne, mourante, m'a confié ses oeufs, une certaine Akalknir dans notre langue, je ne connais pas son prénom humain. Les démons étaient déjà là, mais je les fuyais. Ces oeufs, je les ais tout de suite considérés comme les miens, mais les cacher n'a pas été suffisant. Je n'avais rien trouvé de mieux qu'une clairière au milieu de nul part, assez grande pour m'accueillir sous mon apparence la plus volumineuse, mais je me suis faite capturée... - Eux ? - Oui, eux. Ils m'on promis que si j'obéissais, rien n'arriverait aux petits, alors j'ai obéis, évidement. Trois oeufs de dragons, en sachant que notre race est en voie d'extinction, ce n'est pas rien, et tu le sais aussi bien que moi, je ne pouvais pas les laisser être détruits. (...) Pour la marque que j'ai sur la nuque, elle me fait toujours mal, et c'est pour me... rappeler en quelque sorte, que je leur appartiens, que je suis leur et que je leur dois soumission. (...) Je n'ai jamais tué de dragon, qu'on se le dise, plusieurs fois j'ai été chargée d'exécuter mes semblables, mais comme avec Cain, j'ai toujours feint de ne pas savoir où ils étaient, j'en ai aidé plusieurs à s'enfuir, et si j'ai tué des innocents, des gens pour et avec lesquels j'aurais souhaité me battre, c'était uniquement pour jouer le jeu, c'est difficile à dire, mais je n'avais pas le choix, et j'ai préféré tuer les gentils et penser à trois pauvres oeufs, que de les laisser être brisés pour garder les rebelles en vie. (... ... ...) Et... pour en finir... je ne t'ai jamais menti que sur ma véritable identité, je te le jure. Tu m'as tapé dans l'oeil à la minute où je t'ai vu... mais tu as insisté pour qu'on se voient, pour qu'on parle, joue, vive des choses ensembles, et je n'ai pas su résister, malgré que je savais ce qui allait se passer, j'ai foncé. Je t'aime réellement Seiryu, et je n'ai jamais jouée la comédie... »
Ca avait du le convaincre, en fait, puisqu'il était venu l'embrasser. Et puis il lui avait ensuite parlé de lui, sa soeur, et tout le reste, sans avoir pourtant jamais cherché à lui parler de la première dragonne avec laquelle il avait joué. Les deux dragons avaient échangé toute la journée, leur passé, leur présent, leur futur, que l'un et l'autre se voyaient partager avec l'être aimé. Au soir, sans plus de manière, Rega s'était endormie dans les bras de son amant, lentement, alors qu'ils continuaient de se parler. Elle sombra au milieu d'une phrase, au milieu d'un je t'aime, et qu'elle avait prononcé de manière si douce qu'il ne fut peut être qu'à peine audible.
Il était clair que la jeune femme avait omis un passage important de sa vie, sa capture, ce qu'on lui avait fait endurer en plus de cette marque apposée au fer rouge sur sa nuque. L'enfermement, la torture, les rires des gardes, la souffrance, son état pitoyable, ses cris, ses lamentations, et tout le reste... Elle avait vu et subit des choses horribles, comme sans doute beaucoup de prisonniers importants, mais elle s'était gardée de le lui dire. Il n'avait pas besoin de savoir cela.
Seiryu s'éveilla le premier, très tôt, et par soucis sans aucun doute. Lorsque la dragonne ouvrit les yeux, le jeune homme était en train de panser l'une de ses plaies sanglante, qui visiblement s'était remise à saigner pendant la nuit, épongeant son front, sa joue, son visage, partout où de ce liquide pourpré de rouge s'était écoulé. Il avait changé ses bandes, rouges elles aussi, et toujours par la même chose. Pourtant il lui en restait bien d'autres à changer. Elle s'assit, avec l'aide de son compagnon, qui eu alors tout loisir de la manier comme il l'entendait. Autant dire qu'elle se sentait minable, de devoir dépendre de lui. Ne disait-on pas que, comme les vampires, plus les dragons étaient vieux, plus ils étaient puissants ? Alors pourquoi les rôles n'étaient pas inversés ? Pourquoi c'était à lui de prendre soin d'elle alors que l'inverse aurait du être. Elle était plus puissante, ou elle l'avait été, mais depuis deux ans, passés sans combat véritable, elle n'avait pas su résister à Cain, et s'était vraisemblablement affaiblie. Affaiblie à tel point que tomber dans une embuscade l'avait rendue incapable de bouger. Que quatre coups dans le ventre ou la poitrine, sous forme humaine, l'avaient tordue en deux à tel point que ses jambes n'avaient plus répondues. Simplement, elle était évidement plus faible sous forme humaine, et les dégâts causés sous cette apparence se répercutaient sous la seconde, ce qui pouvait signifier qu'elle soit autant faible, humaine que dragonne, lorsque transformée. Alors en effet, il valait mieux s'en prendre à elle sous la première apparence, là où elle ne pouvait pas encaisser les coups.
Le temps était passé vite, une journée, puis deux, et enfin la troisième, annonciatrice de malheur.
L'ordre avait été donné, et je ne sais pas si Seiryu l'avait compris, mais ce message en cachait bien un autre. Il fallait retrouver la traîtresse, la tuer, et puisque les démons savaient que j'étais une femme, on avait donné comme directive que de n'abattre que les femelles. Il n'y avait pourtant pas que ça. J'avais l'intime conviction que ces salopards voulaient faire agoniser toute l'espèce en empêchant les dragons de se reproduire, et ainsi, faire sombrer la race. Une lente agonie en somme. Peu importait que les mâles puissent avoir des enfants avec des femmes humaines, hybrides, dans la mesure où le produit de ces accouplements ne seraient que des bâtards au sang impur. Seuls intéressaient aux démons les véritables dragons, ceux de sang unique, pur, les individus non hybridés, bien plus puissants que les sous espèces. Comprenez qu'un enfant né de père dragon et de mère vampire, par exemple, serait automatiquement moins dangereux qu'un enfant né de parents tous deux dragons. Ces gosses là ne leur faisaient pas peur, et si un venait à se rebeller, on les exterminerait sans difficulté.
Agonie.
Ils voulaient nous tuer à petit feu, tout simplement, en commençant par exterminer toutes les reproductrices. J'en étais une, simplement, et le fait d'être avec un dragon était d'autant plus dangereux. Je ne sais vraiment pas si Seiryu l'avait compris, mais il avait voulu m'éloigner de tout ça. J'étais bien trop faible pour me battre, pour supporter. Un dernier coups aurait été mon épée de damocles, mon achèvement, simplement. Je tenais à peine debout, et il fallait évidement me porter pour me transporter. J'étais trop épuisée, et plus les jours passaient, plus ma nuque me brûlait.
Nous avons passé un mois environ à l'abri de tout, dans le désert gelé de Mookonen, là où les démons répugnaient de marcher, détestant la neige et la glace. Nous avons passé un mois, de rires, de larmes chaudes, d'amour...
Et puis... ils sont arrivés.
Il savait qu'il n'aurait pas pu me protéger indéfiniment, mais il l'a fait quand même, volant au temps quelques jours de ma vie, volant à la mort son dessert, pour les passer avec moi.
Vêtus de noir, les démons n'avaient pas cherché à se dissimuler à nos yeux. Les oeufs étaient cachés, et par miracle, ils ne réagissaient pas au froid, ils le supportaient sans peine, alors nous avions pu leur éviter le combat. Quand je les ais vu approcher, je savais déjà ce qu'ils feraient, évidement. Lui comme moi, nous avons combattus côtes à côtes pour la première et dernière fois.
Un, puis deux, trois, quatre, dix. Nous avons tués autant de démons que possible, mais pour un dragon, personne n'envoi jamais qu'une escouade. Alors qu'il se débrouillait bien, je me suis laissée dépasser par le nombre de nos ennemis, engloutie, noyée, jusqu'à ce que l'on m'attire vers l'arrière.
Debout, j'ai sentie sa main se poser sur mon ventre. Alors j'ai su que c'en était fini de moi. Il a jeté un regard au dragon en train d'abattre l'un de ses comparses. Et j'ai entendu le cri de mon amour résonner dans les landes gelées tandis que son poignard me transperçait. Il a sourit, et m'a laissé retomber dans la neige. Et mon sang, comme ma vie, quittèrent ce corps blafard tandis que mon amour me suppliait de tenir bon, assis dans le froid, à mes côtés, et que ses larmes vinrent glisser douloureusement sur mes joues.
Mon sang rougissait la neige de ces contrées. Mes cheveux en étaient recouverts, parsemés de pourpre et de blanc. Dans les bras de mon aimé, tombeau de notre amour, mon coeur s'éteignit. Et enfin mon âme pu quitter ce monde.
Tu me survivras mon amour.
Tout ce qu'il restait de moi, n'était plus que mon épée, et ce médaillon, que je lui avais offert... Ainsi que le simple souvenir de nos nuits passées ensembles.
Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Dim 10 Aoû - 15:42
Heu ... Ouai, c'est bien beau tout ça, mais je suis censée faire quoi là moi ? --'
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Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Mar 12 Aoû - 17:10
Ben tu vas chercher Cain TT
Cain * Ce n'est pas le cas, et qu'on se le dise, il aurait réagit avant s'il ne ressentait rien *
Eledrim * Et elle le lui a rappelé. Ne voulait pas lui faire de mal, ni etre blessante, mais c'est vrai, il ne peut pas l'aider actuellement. La seule chose ou personne qu'il puisse toucher, c'est elle, et ses "pseudo vetements" à la rigueur... *
Ego * Il le découvrira donc *
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Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Mar 12 Aoû - 17:15
Ouai bah là il baise hein xx
Heiden * Tout va bien dans ce cas là, car la première fois, soit la veille, avait failli se vexer. [ C'est la veille et les rps dattent du mois dernier quand même xx ] *
Caïl * Il le sait bien, et ça le frustre, comme toujours, se sent complétement inutile et commence même a avoir hâte d'acquérir un nouveau corps terrestre. *
Eadal * En effet. L'accompagne donc, vétue de ce short qui la gene temps et de ce débardeur si moulant. *
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Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Mar 12 Aoû - 17:25
Et alors ? Tu préfères que Rega continue d'etre deadée ? --'
Cain (On rp beaucoup xp) * Il avait cru le comprendre, mais quoi qu'il en soit, ne peut plus se retenir cette fois *
Eledrim * Nouveau corps terrestre qui sera le même que le premier, qu'il ne s'attende pas à en recevoir un autre. En fait, il sera le même qu'à son trépas *
Ego * Ce n'est que pour sortir... *
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Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Mar 12 Aoû - 17:41
Bah j'en sais rien, faut faire sur deux jours différents ? o/ D'ailleurs qu'est ce qu'ils foutent dans les bois Cain et Heiden ? >< Et Venzel tu l'oublies ? xx
Heiden * Tant mieux, préfère ça de toute façon, et gémit de nouveau contre ses lèvres. *
Caïl Une question se pose dans ce cas là. Comment ceci va t il se passer ? Son âme retournera t elle dans son corps ( soit pourrit depuis ces 7 ans passés sous terre ) ou sont enveloppe réapparaitra comme au premier jour ? *
Eadal Oui, bah n'aime pas ça.*
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Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Mar 12 Aoû - 18:57
Pas forcément, on reprend après le mono, ca revient au même Ben Cain habite vers la forêt à l'écart de tout, loin de toutes autres maisons hein TT Nan mais j'vois pas l'intérêt de continuer avec Venzel avec c'que vous rp là
Cain * sourit tout seul, alors que se fait plus brute de nouveau *
Eledrim * La chamane le lui a expliqué, et il faudrait qu'il le lui demande pour qu'elle le mette au courant *
Ego * le sais bien... *
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Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Mar 12 Aoû - 19:03
Oui mais je disais ça dans le sens où là actuellement on fait un truc déjà avec Cain, donc savoir si on devra arrêter ou non. Ah okai, et re ah okai x3
Heiden * Il doit savoir qu'elle aime ça, car ressent encore une fois plus de plaisir, ce qui l'empêche maintenant de retenir ses gémissements et est donc forcée de quitter ses lèvres de plus en plus fréquemment. *
Caïl * Et comment feront ils s'ils partent d'ici ? *
Eadal * Avance donc avec lui jusque son lieu de rendez vous. *
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Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Mar 12 Aoû - 19:17
Ben oui, surtout qu'elle serait encore un minimum blessée, donc forcément.
Cain * n'aurait pas pu rester lui même contre ses lèvres, alors au final, ce n'est pas plus mal qu'elle les quitte de son gré *
Eledrim * Elle pourra toujours revenir lorsqu'elle sera remise de ses blessures *
Ego * discrètement d'ailleurs *
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Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Mar 12 Aoû - 19:27
Oui je sais, donc soit faut qu'on arrête ce qu'on fait là, soit faut les jouer à deux endroits o/
Heiden * De son gré .. Non, plutôt qu'elle n'a pas d'autre alternative si elle veut pouvoir respirer tout en gémissant. *
Caïl * Elle sera toujours promise à un autre cependant. *
Eadal * Oui. Arrive donc avec l'homme et ... l'autre femme si peu appréciée par notre indienne, et s'arrete elle même en approchant, entend déjà l'habituel bourdonnement synonyme de technologie, et n'apprécie toujours pas. *
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Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Mar 12 Aoû - 21:08
Ben on arrete
Eledrim * oui, mais elle sera capable de refuser, là... non, puisque blessée *
Ego * Elle devra pourtant apprendre à en faire abstraction *
Invité
Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Mar 12 Aoû - 21:13
Caïl * Alors autant qu'elle parte d'ici.*
Eada'l * Et bien là, à du mal, et n'y parviendra pas en une journée. *
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Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Mar 12 Aoû - 22:24
Mais faut qu'tu répondes avec Seiryu Uu'
Eledrim * C'est ce qu'elle lui dit depuis tout à l'heure, c'est la meilleure solution *
Ego * ca, il le sait, mais espère qu'elle ne se fera pas remarquer *
Invité
Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Mer 13 Aoû - 11:53
Caïl *Oui mais là, il le comprend enfin, même si ça ne lui plait pas trop. *
Eadal * Elle ? Elle ne cherchera pas à attirer le regard, je vous rassure, elle se sent suffisament à part comme ça pour en plus se montrer ridicule en public. *
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Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Mer 13 Aoû - 13:07
Heho ? J'parle dans l'vide ? Uu'
Eledrim * Au moins il a fini par le comprendre, et c'est déjà ça *
Ego * Mmh... oui. Sans doute, alors qu'elle reste discrète. En fait, a surtout peur de la voir aller tenter de tuer l'homme qui l'a séquestrée *
Invité
Sujet: Re: ▲ Le Bois Ensorcelé. Mer 13 Aoû - 14:26
Mais j'suis censée faire ça en long post ou pas ? o/
Caïl * Oui, m'enfin. Devant la tente, surveille donc et vérifie que personne n'approche de trop près. *
Eada'l * Ce qui risque d'être problématique, car c'est exactement ce qu'elle cherchera a faire. *
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Sujet: ▲ Le Bois Ensorcelé. 
Ven 9 Mai - 12:30
